La tête de Raf heurta violentant le mur. Tous devient noir... Quand Raf ouvrit les yeux, elle se trouvait dans une petite salle au murs et sol blanc, le plafond, lui était noir. Elle se releva doucement, sa tête lui faisait un peux mal, elle traversât la salle, elle arrivait sur un petit couloir étroit, lui aussi, blanc. La traverser parut durée une éternité, et le mal de tête de Raf passait peux a peux. Quand la traverser fut finit, Raf arriva dans une petite pièce de forme circulaire, avec de la mosaïque sur les murs et le sol, le plafond été en pierres... Au milieux trônait une table ronde et des bancs, qui faisaient le tour de la table. Raf s’installât sur un banc. 

  Elle ne sais depuis combien de temps elle été assise sur le banc, quand elle remarqua une jeune fille assise a coter d’elle, cette jeune fille qui lui tournait le dos, avait de long cheveux brun, ils lui arrivaient au milieu du dos. Elle portait un t-shirt bleu avec un short blanc assortie a ses ballerines. Raf ce demandait ou elle ce trouvait... Doucement la jeune fille commença a ce retourner vers Raf. Quand Raf la vit de face, la première chose qui la marqua fut la couleur des yeux de la jeune fille, ils été un mélange de vert et de bleu, magnifique. La jeune fille sourie a Raf, puis elles ce regardèrent quelques instant :

Jeune fille : Je t’attendais :)

Raf : Vous... M’attendiez ? 

J.F : Oui ^^ Raf, je voudrais te parler.

Raf : Vous connaissiez mon nom ? 

J.F : Oui ^^ Moi, c’est amore ^^

Raf : D’accord...

Amore : Je vous observe, Sulfus et toi, et je voie bien que rien n’est simple, mais accroche toi ! Son amour pour toi est sincère, il ferait n’importe quoi pour toi ! Tu sais, la vie ne fais pas de cadeaux, mais elle vaux la peine d’être vécut, et puis, après tous, on en a qu’une ^^ Il faut juste faire les bons choix, et s’entourer des bonnes personnes. Et même si rien n’est simple, la vie est tellement belle ! Enfin, tu vois ce que je veux dire ?

Raf : Oui, oui, je vois.

Amore : Super ^^ Je te laisse...

  A peine ses paroles prononcer, Amore disparut, laissent Raf, seul sur le banc, entrain de penser a ce que venait de dire Amore. Elle n’avait pas tord, la vie en vaux la peine. Elle resta quelques instant sur le banc, avant de repartir. 

  Raf ce remit en route, le couloir, cette fois été large, et haut, tout en pierre, mais sa traverser dura casiment aussi longtemps que le précèdent. Et plus Raf avançait dans le couloir, plus il été sombre et humide, et Raf été obliger de mettre sa main sur le mur pour pouvoir avancer sans tomber. Raf commença a avoir froid et avait l’impression de marcher depuis des heures. Quand elle vit enfin de la lumière, elle venait d’une pièce éclaire par des bougies. Quand Raf pénétrât dans la pièce, la première chose qu’elle vu fut l’énorme corbeille de fruits poser sur une table en chêne. A ce moment, Raf ce rendit comte qu’elle avait faim, et une fois encore, elle ce demanda ou elle ce trouvait. 

Raf *dans sa tête* : Et si c’était un piège ? Après tous, ça ce pourrait, je ne sais absolument pas où je me trouve ! 

  Mais elle ne put ce retenir, et là vu d’une mangue la fit craquée :

Raf : Oh ! Une mangue *w* (XD)

  Elle prit la mangue, la coupa puis la manga, avent de repartir, mais au moment de franchir la porte, elle se heurta a une porte en verre qui bouchait le passage. Elle essayer de reprendre avec la quelle elle été entrée, mais celle la aussi été bloquer par une porte en verre. 

Raf *dans sa tête* : Et mince ! 

?? : Mouahahah (rire diabolique)

Raf : °^° ? 

?? : Tu était bien trop facile a piéger ! Un petit ange comme toi ! 

Raf : Mais qui êtes vous ? Que voulez-vous ? 

?? : Moi ? Je suis Fedich ! Oh, rien, juste te tuer... 

Raf : Me tuer ? *dans sa tête* comment pourrait-il me tuer dans un rêve ? 

Fedich : Oui, après tous, j’ai bien le droit ! 

Raf : Hum... Non ! Inflamme ! 

  Raf commença a lancer des flammes sur Fedich mais aucunes le toucha, elles passaient toutes loin de lui, ou il les évitait.

Fedich : Alors petit ange ? Remarque, c’est pratique tu te fatigue toute seul, je n’est rien a faire. ^^ Ahahahah *rire diabolique*

  Le «combat» dura encore un long moment, toutes les tentatives de Raf ce retrouvèrent sans effet, elle n’en pouvait plus, en Fedich, lui été encore en pleine forme. Quand il vit que Raf été trop fatiguer pour lutter il ce jeta sur elle, lui placent son bras a la gorge, pour la bloquer. 

Fedich : Alors ? On perd ? Je t’avais bien fit que je te tuerais ! 

Raf *qui a du mal a respirer* : Non... Vous... Vous aller... Pas...

Fedich : A oui ? Et comment vas tu m’en empêcher ? 

?? : Elle, elle ne peux pas, mais, moi oui ! ^^

Fedich : A bon ? Toi ? 

Raf : Amore ?

Amore : Raf ! Pense très fort a Sulfus ! 

Fedich : Ummm, maintenant j’en ai deux a tuer ^^! 

Raf *En ce relevant face a Fedich* Pourquoi êtes vous si sur de nous tuer ? Ahhhhhh ! (crie de force °^°) 

  Un jet éblouissent sur Fedich, le jet le projeta contre un mur, et l’assommât. Les parois de verre explorais. Amore fit signe a Raf de partir. 

Raf : Et toi ? 

Amore : Ne t’en fait pas, tous ira bien :) Et puis je vais m’occuper de lui. *montre Fedich du doigt*

Raf : Amore ? Merci :) 

Amore : De rien. Et Raf ? Tu sais ce qui viens de passer, c’est un jet qui viens de tous coeur, et qui est, en faite, un mix de toutes les émotions qui ce son réveillez en toi quand tu ressent a Sulfus, je suis sûr que tu comprend. Aller fils ! 

  Raf partie en courent, mais s’arrêta au bout d’un centaine de mètre « un mix de toutes les émotions que tu ressent quand tu pense a Sulfus» Raf avait parfaitement comprit ce que voulait dire Amore, de l’amour, mais aussi de la colère, lier au faite qu’on lui répétait sans cesse «vous ne pourrez jamais être ensemble» «tu est un ange et lui un démon», de la peur, de l’avenir et de ses choix, elle ne savait pas de quoi est fait demain, mais aussi car elle avait peur de faire les mauvais choix, et ça la terrorisait, et de l’envi, l’envi de pouvoir être avec Sulfus, sans que personne ne lui dise que leur amour est impossible, elle l’aimait, malgré les règles, le V.E.T.O, et le reste. 

  Raf reprit sa marche, elle traversa un couloir, une salle, un couloir, une salle et ainsi de suite pendant cinq, six salles. Mais elle fini par être trop fatiguer et en avoir marre de marcher, elle ce laissa tomber le long d’un mur, dans un couloir en marbre, éclairer par une lumière qui donnait des reflets bleu. Elle repensa a ce que lui avait dit Amore, et a ce qui c’était passer plus tôt, et a Sulfus. Son coeur et sa raison lui disait deux chose différente, mais comment choisir ? Son coeur, celui qu’on aime, et un avenir pas sur ? Ou sa raison, son clan, et un avenir sur ? Raf sentait son âme ce déchirer en deux, son monde semblait peux a peux ce fissurer, et ce déchirer. Le choix été impossible. Elle pensa a tous ce qu’elle aurait, mais aussi a tous ce qu’elle perdrait dans les deux cas. Les larmes lui montait aux yeux, elle en avait marre, marre de devoir choisir, de ne pas pouvoir être avec celui qu’elle aime sans pour autant être entrain de désobéir aux règles. C’est alors qu’elle vit une grande silhouette blanche et lumineuse devant elle, elle lui tendait la main. 

?? : Ah Raf ! Je te trouve enfin ! Merci Amore. :)

  A ce moment Raf aperçut Amore derrière cette silhouette. 

?? : Oh ! Pardon, je m’appelle Daphné ! Suit moi s’il te plais. ^^

  Raf accepta la main que lui tendais Daphné. Raf ne parvenait pas a distinguer clairement les traits de Daphné, comme si elle était de s’effacer. Sans trop savoir pourquoi Raf avait l’impression de pouvoir faire confiance a Daphné. Elle suivit Daphné et au bout d’un moment, elles arrivèrent dans une salle, des mosaïques aux murs représentait a chaque fois une homme et une femme, qui souriaient. 

Daphné : Raf, mon enfant, ne pleur pas, je sais que tous ceci est compliquer, mais un jour tous ira mieux, tu verra. 

Raf : Mais comment ? Mon coeur et mon âme son déchirer entre deux mondes ! Et je suis incapable de choisir ! 

Daphné : Tu voix ces mosaïques ?  Ce sont tous des couples connut, cher les humains, pour leur amour maudit. Tu voix ce là-bas ? (elle indiqua deux personnages sur le premier tableau de la mosaïque) Ce sont Romeo et Juliette, ils s’aimaient, mais leurs familles ce détestaient, et ils ne pouvaient pas vivre ensemble, alors, après plusieurs aventures, Juliette a fais semblent d’être morte pour ne pas ce marier avec l’homme choisie pas ses parents, et Romeo, qui c’été exiler, apprit que ça bien-aimer été morte, alla sur la tombe de celle-ci, et ce suicida, Juliette qui arriva, vit son amoureux, mort, ne le supporta pas, et ce suicida aussi... Et quand les parents deux deux amants vire leur enfants mort, ils décidèrent, un peux tard, que leur querelles durait depuis bien trop longtemps...

Raf : Mais c’est horrible ! Il a fallut que Romeo et Juliette meurent pour que les familles réagisse ! 

Daphné : Oui, mais ils avaient prit le partie de ne rien dire a leurs familles, je pense qu’ils on eu tord...

Raf : Peux être... 

Daphné : Tu sais Raf, en amour il faut ce battre, moi, je suis ici, car je ne me suis pas battu pour mon amour et la personne que j’aimais est mort, alors que je voulais lui dire que je l’aimais, et qu’il fallait continuer de ce battre, et j’ai fait le voeux d’aider ceux qui doute et son perdu, pour qu’ils ne perde pas leur amour... Mais si aujourd’hui je disparait, c’est que les humains arrêt de ce battre, abandonne quand ça devient trop dur, ou que c’est compliquer ou qu’il faut ce battre un minimum.... Et les histoires d’amour ne son jamais simple, il faut juste avoir du courage, et ce dire qu’un jour, tous finira pas s’améliorer, ne décourage pas ! 

Raf : Non ! Je ne veux pas finir comme toi, sans te vexer, ou comme Roméo et Juliette ! 

Daphné : Tous a tous comprit, je voit, que même si tu ne sais pas encore ce que tu veux, tu a comprit !

  A peine Daphné eu elle dit cela, elle disparut, Raf contempla encore un peux les mosaïques, et fini pas aller s’assoir, elle ferma les yeux, et quand elle les ouvrit, elle vit Urié, Dolcé et Miki, assit a coter d’elle, qui la regarder, son mal de tête avait reprit... Elle vit aussi qu’elle été allonger dans un lit, a l’infirmerie.

Raf :  Pourquoi je suis ici, qu’est ce qui c’est passer ? 

Urié : Tu a glisser sur une plaque de verglas (oui, c’est l’hiver) et ta tête a taper un mur et tu a perdu connaissance... Tu est rester sans connaissance pendant presque 4h30... 

  Urié a arrêt de parler d’un seul coup, et quand Raf regarda dans la même direction que son amie, elle vit Sulfus appuyer a l’encadrement de la porte, il regardait dans la direction de Raf, avec un sourire qui tarissait a quel point il été heureux. 

Urié : Dont.. Arkhan veux nous voir, vous venez les filles ? 

Dolcé : Mais il... (coup de coude de Miki) Oui, on arrive ^^

Raf : A toute a l’heures :D 

  Les trois amies sortir de la pièce en laissent Raf et Sulfus seul, il s’approcha doucement du lit : 

Sulfus : Alors la belle au bois dorment ? Bien dormi ? 

Raf : He ! M’appelle pas comme ça ! 

Sulfus : D’accord mon ange :) *lui fais un bisous sur le front* Je suis heureux que tu te sois réveiller. 

Raf : Sulfus ? 

Sulfus : Oui ? 

Raf : Je t’aime, peux importe que ce sois compliquer, ou ce que dise les autres, je t’aime, et je veux me battre pour ça ! 

Sulfus : Tu a raison mon ange ! On va se battre ! Et, je t’aime aussi.

                                                    

∞ Cette mini fan fic a été écrite dans le train....

Dire adieu 

A lire avec ça ! 

 

Démonitsa jeta un derniers coup d’oeil a la pièce, qu’elle s’apprêtait a quitter, plusieurs valises posées a ses pieds et des larmes au bords des yeux, la pièce au part avant remplis de tonnes d’objets, photos et toutes choses d’aucune utilité et colorer a mort était a présent vidé de cela et semblait horriblement vide et sans vie. Démonitsa détourna finalement les yeux tout en fermant la porte, le coeur serrer par la tristesse de son départ, elle le savait elle devait partir, mais elle avait du mal a l’accepter, c’était impossible pour elle... Elle n’avait jamais aimer les adieu, et pourtant c’était bien ce qu’elle s’apprêtait a dire, elle le savait parfaitement aussi tôt après avoir descendu les escalier et être arriver dans la salle du bas, elle dirait adieu a des personnes formidable, au quelles elle ne voudrait ne jamais avoir a dire de tels mots, mais on ne lui en donnait pas le choix, en réalité, elle ne ce donnait pas le choix, elle aimait cet endroit, de tout son coeur mais trop de mauvais souvenirs s’y rattachait, beaucoup trop... Elle arriva en bas des escaliers, et ce fut plus fort qu’elle, elle sentie les premières larmes dévaler ses joues et un sanglot remonter le long de sa gorge, un sanglots incontrôlable, qui la força a s’assoir sur la dernière marche de l’escalier, a reprendre profondément son souffle pour essayer de ce calmer, mais c’est a ce moment que tout le monde choisie pour arriver, et le peux de self-contrôle qu’elle avait réussie a retrouver ce dissipa aussi tôt, et les sanglots affluèrent de suite. Elle mis son visage sur ses mains et appuya ses mains sur ses genoux et respirât profondément, elle devait réussir a ce reprendre, sinon elle ne le ferrait jamais, elle ne dirait jamais adieu. Elle trouva finalement la force de ce relever et d’affronter le moment qu’elle redoutait plus que tout. 

 

Quelque temps et adieu déchirant plus tard, Démonitsa ce trouvait sur le porche, les yeux rouge et gonfler du nombre incalculable de larmes qu’elle avait verser. Le regard dans le vague elle repensait a tout ce qu’elle avait vécu ici, a tout ce a quoi elle avait survécu et tout ce qu’elle laissait derrière elle, mais elle le savait, elle ne pouvait rester, ce serrait le pire des choix qu’elle pouvait prendre, et partir, même si l’envi de rester était plus forte que tout restait la meilleure des choses a faire. Elle reprit ses valises inspira un grand coup, ce retourna une dernière fois, battit des paupières pour chasse les larmes et pris un long instant pour détailles les façades du bâtiment devant le quel elle ce trouvait, les souvenirs affluaient, souvenirs qu’elle ce dépêchât de chasser. Elle contempla encore un long moment l’endroit qu’elle aimait temps, sans réussir a s’en détacher, mais ce fut finalement un coup de claksone qui la fit sur sauter. Elle essuya ses dernière larme du dos de la main d’un geste rageur, pris ses valises, plaqua son plus beau sourire sur ses lèvres et pris un air détacher, et après quelques seconde fit volte-face et descendit le petit escalier qui la séparait du trottoir, elle s’approcha de la petite voiture qui l’attendait, elle s’assis dedans sans un mot, et le conducteur démarra et commença a s’éloigner du bâtiment, pendant de Démonitsa essayait juste de ravaler la boule de sanglots qui ce formait dans sa gorge...